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c'est ça ouais

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14 octobre 2005

bon bein c fini

voila. ya tout qui change de nouveau, jme casse d'ici. donc ca c fini. ca prendra ptet une autre forme plus tard, ou pas. bisou a qui tombera sur ce terrain vague.
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23 août 2005

tête et ventre

toujours malade et toujours content, j'ais l'impression de jouer un nouveau personnage, une petite série d'evenements a bouleverser certaines habitudes ou plutot certaines attitudes, certains positionnements, d'une maniere bien plus radicale que sous la pression de la volonté. quand un changement se produit dans le ventre il semble plus efficace que quand il se produit dans la tete. du moins c'est presque instantané, alors que quand ca vient de la tête ca s'installe peu à peu pendant des mois et dans la soufrance. ou pas. c'est juste une impression. bref je suis presque au bout d'une route, en haut d'une falaise, au pied d'une montagne, enfin pas nulle part. ca va changer de couleur, de forme, et de fond. du moins c'est comme ca que je le sens aujourd'hui.

j'essaie de faire de plus en plus attention a ce qui pousse à agir chez moi, a sentir quand c'est quelque chose de non réflechi et quand c'est quelque chose de pensé, de voulu. je prefere largement l'action directe, c'est comme si c'était celle vraiment désirée. mais comme on vit a plein ou je ne sais pour quelle autre raison, on peut pas la laisser s'exprimer. on tend même a la faire disparaitre, ou pas, je sais pas. en tout cas quand ma tête et mon coeur (ou mon ventre) s'accordent ou bien quand ma tête trop ennivrée ne peut plus controler mon ventre, l'action est bien plus facile et bien plus plaisante. au contraire les choses dictées d'en haut, quand elles vont a l'encontre de celle dans bas sont de vraies tortures. triste culture qui a (voulu) déifié le calcul et la froideur. pauvres générations passées (et encore présentes) brisées par ces certitudes bien minables. euh bon, ca suffit les conneries pour aujourd'hui.

20 août 2005

je me rapproche d'un rythme

c'est pas encore ca mais ca vient, je crois. aprés trois jours de marche dans les pyrénees, quelques jours avec ma frangine et son pote dans ma ville, je commence a me poser dans ce nouvel endroit. aprés une semaine des plus suréalistes je sens encore une nouvelle étape arriver. en plus ya une petite fée qui est venue se poser deux jours dans ma vie avant de disparaitre, juste le temps de me rappeller que je me prends souvent la tete pour pas grand chose. voila aujourd'hui j'ai aucune envie de raler contre quoi que ce soit, je suis juste tranquille. en plus cette nuit j'ai chopé une angine ou je sais pas quoi, mais je m'en fout. c'est un peu simple, mais quand j'arrive a avoir un écho de ma vibration chez quelq'un d'autre et reciproquement, tout devient plus simple, c'est comme si ca comblait le fossé pour un moment. voila j'ais eu ma dose d'amour, ca calme la tension, du moins pour un moment. je vais peut-etre pouvoir affronter la réalité froide de mon époque avec un peu plus de serenité, juste le temps de regler les quelques bribes d'ordre et de raison entre lesquelles je pourrais de nouveau laisser s'amuser mon chaos.

7 août 2005

keskeje fou

bon le chaos regne comme il se doit dans ma petite tête trop remplie. j'ere entre deux eaux repoussant toujours un peu plus l'ordre, la discipline ou je ne sais quelle pathologie dont se gavent mes compères. j'ais juste envie de tout laisser filer, de me laisser aller, et de vivre vraiment chaque moment. mais comme toujours ce monde hurle silencieusement que ce n'est pas possible, qu'il faut être grave parceke sinon ca va partir en couille, et que, bein il faut avoir peur parceque sinon oulala, on se ferat taper sur les doigts, par ce dieu, finalement bien plus baleze que l'ancien, qu'est l'Autre, le social ou je sais pas quoi. en plus pour le coup celui-la il est omnipresent puis ya même pas besoin de se poser la question, c'est flagrant alors on s'est mutuellement intoxiké de pseudo-amour les uns les autres, si bien(ou si mal) que l'on peut plus s'en passer. alors de peur de se retrouver sans cette affection, reconnaissance, ou quelque soit le nom qui cache cette prison, on fait rien de plus que ce que font les autres, c'est a dire rien. toujours cte platitude débordante, ctabsence de courage. plutôt la routine, plutôt le médiocre que de risquer de troubler même qu'un instant la surface nauséabonde de ce bourbier. plutôt mater la téle que de risquer de soufrir. bon je tourne en rond encore et toujours. pas de trés bonne humeur aujourd'huy, encore une ptite frustation affective pour changer. cool mon heure internet est finie, j'arrete mes conneries.

3 août 2005

bizar cte ville

plutot cool de vivre dans un film d'anticipation réussi. d'un quartier a l'autre, d un appart a l'autre, tout change, ou presque. je doit jongler avec mes cadres de comportements sociaux plus que jamais. avant c'était assez facile vu qu'il me fallait faire pas mal de kilometres pour changer de contexte culturelle. la c'est tout le monde qu' a fait fait plein de bornes pour se retrouver ici. ca fait un putain de mélange. quand je me parles tout seul c'est un mix de francais d'anglais et d'espagnol. pareil avec les gens en fait. on sent bien le milieu d' origine laissé derriere, qui transpire malgré tout, mais ca compte pas vraiment semble-t-il. c'est comme une nouvelle culture de jeune presque exclusivement et d'étrangers. ya pas vraiment de locaux. enfin je les vois pas trop. j'espere que ca viendra. puis c'est que des gens de passages, pour longtemps des fois, mais pas pour toujours. on se fait pote mais on sait que ca durera pas, enfin pas comme des potes d'enfances. un peu cheul, jsai pas si ca colle bien a ma maniere de voir les choses, mais j'essaie de m'y accomoder.tain de temps

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30 juillet 2005

nouvo scenario

encore un nouveau chapitre en quelque sorte. je me retrouve en plein coeur du probleme. en plein coeur de la ville, et face a mes demons de l'hiver. plutôt etrange comme situation. ya de quoi me reveiller pour un moment. et encore une fois j'ais beau rever souvent au futur, celui ci reste imprevisible. tant mieux. impossible de deviner ou j'en serai dans un mois. ptet trés haut, ptet trés bas, mais je crois pas. ca ressemble plus a une côte qu'a une pente. enfin,  c'est drole je suis tout déboussolé, je dors bizarement, me reveilles de chauchemards en sueur tout en mettant 5 minutes a realiser que ce n'était qu'un reve. ca me fait le coup a chaque fois quand je change de contexte. et le shit que m'a laissé l'ancien coloc n'y fait rien.

bon, je suis au centre d'un labyrhinte moyen-ageux, ou se croisent sans se voir des hordes de touristes venus de partout, des groupes de clochards-punks a chiens, et puis des indigenes mème pas étonné du spectacle. plus de temps

7 juin 2005

Assis sur une terrasse d’une petite place

Assis sur une terrasse d’une petite place toute vieille et toute graffée, oû se melent en cette après-midi, djeuns assumés, ptits vieux joyeux, toxs souriants bien que sans dents, alcolos déguisés parceque ca fait gagner du blé, touristes de tous horizons, mamans enfants, darons, morts-vivants. Dans le coin de la place des jeunes commencent à se rassembler.ils tiennent des cartons, des batons, des cuillères de cuisines, des meubles démontés et semblent bien réveillés. D’abord 4-5, ils sont maintenant une vingtaine et bizarrement, ils sont presque tous blonds. de plus en plus chaud, ils commencent à faire du son. Une batucada éclate, 3 filles entament une chorégrafie qui ma foi, déchire tout. Ils s’éxcitent de plus en plus. Il y a une putain de vibe. Je comprend pas qui ils sont. Ya 2 darons avec eux un peu à l’écart, hilares. C’est cool.

3 djeuns punk-babos tranquiles viennent squatter ma table, me font tourner des oinjs.

((bon, j’halucine. Je me suis levé joyeux, et tout est cool, comme quoi…

tiens, un oinj d’afghan, coolapse………………………………………………………………...

7 juin 2005

Quand je partage ce que j’ais en tête...

Quand je partage ce que j’ais en tête, je me sens plus leger, moins seul, plus serein. La chaleur du printemps me touche, dessere les nœuds de mon ventre.

Comme j’ais bien fait de poser à l’écrit mon trouble, et comme c’est salutaire de le voir compris ou du moins partagé. Je suis donc pas si seul, on est même pas mal nombreux, je crois, à ne pas vouloir de cette vie là.

Il fait bon, il fait doux. Comme j’aimerais cette vie s’il n’y avait pas ce devoir d’être utile, efficace. Si je devais pas penser à demain, comme ce serai cool. Il n’y a pas besoin de travailler, c’est évident, ca me saute aux yeux. Autour de moi, des montagnes de choses inutiles, voir pire, néfastes. Les gens suent pour construire, pour vendre des télés. Mais ils ne vivent pas. Ils choississent le «il faut » et rarement le « je veux »(celui qui vient du ventre pas de l’égo). Et tout ca pour rien, pour le global virtuel, par peur. Et il faudrait être content de notre systéme, fière de la démocratie que ces pauvres pauvres ne connaissent toujours pas. Ma morale a vrillé. Je ne vois pas de liberté ici. Que de la peur et de la honte. Avec comme résidu heureusement, un peu de joie, de rire et d’yeux qui brillent. Moi il n’y a plus que ca qui m’interesse. Et je prefere pas vivre que de laisser comme place à ça celle de l’écart, de l’erreur de ma routine. En fait non, je préfère vivre par-dessus tout et à partir de là, je me dois de faire en sorte que ce soit ça qui prime. C’est pas gagné, certes…

7 juin 2005

Des jours et des heures à essayer de m’acrocher

Des jours et des heures à essayer de m’acrocher

A une vie dont finalement je ne peux que rever.

Mon cœur essouflé, suspendu à l’espoir

Et ma tête blasée qui ne veut plus y croire.

 

Il faut que je me trouve un bout d’amour à me mettre sous la dent

Ou celle-ci va briser à force de grincement.

Mais s’il faut jouer sa vie comme dans un monopoly

Comptez pas trop sur moi pour finir la partie.

 

Tu n’es qu’un objet pour les tiens

Qu’un instrument pour l’humain

Pas plus qu’un petit four dans un banquet,

Une fleur coupée dans un bouquet

Un arc-en-ciel consignée en bouteille

Un rayon de soleil dans la neige télévisuelle.

 

6 juin 2005

tof de dessin

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