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c'est ça ouais
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15 mai 2005

Pffffffff

<> 

J’ais confiance un peu plus en moi. Grace à pas mal de compliments en peu de temps, que je n’attandais pas. Cela colore ma vie d’une manière assez radicale. Des murs s’effacent, de nouveau apparaissent, mais j’avance. Mais mon contexte fait que je me retrouve au milieu d’un couple d’humain, qui n’arrive pas à communiquer, et qui se déchire. Et moi comme ami du garcon et confident de la fille, putain j’aurai pas cru que ca puisse m’arriver ou me réarriver je me souviens plus mais j’ai l’impression d’ avoir deja connu ca((putain comme c’est facile d’oculter des trucs si évident des fois…)). Encore une fois l’incompression des gens. Quand je me sent fort comme en ce moment, et ce sans fille ce qui m’étonne d’autant plus, j’ais l’impression d’être tout seul à être capable de communiquer, je sais bien que c’est faux. Seul je pense, je crois comprendre, je vois l’incompression des gens, je voudrais dire la il dit ca , il voudrait te dire ca, il y arrive pas, tu devrais insister, etre plus calme, réussir à l’entendre, lui dire ca comme ca ; mais ca marche pas comme ca. Et je me vois moi dans la même situation ou l’émotion, la peur, la fierté bouzille la communication fait naitre l’aigreur, l’agressivité ; qu’est ce qui nous est arrivé pour qu’on soit si fragile si incapable d’aller au fond sans peur, juste en humain, non en personnage. Putain c’est trop dure, est on tous completement névrosé, et si oui, en a-t-il toujours été ainsi, et si non qu’est ce que ca va donner après… pourquoi je me pose de telle question, mon éducation surement, on m’a construit comme ca, je m’enferme dans des problemes qui me dépassent, mais ce que j’aime c’est pas ca c’est aimer, vibrer, mais c’est tellement dur ici, maintenant. pourquoi il n’ya pas que ca, de quelles prises de tête sans fin nous sommes les fruits. Quelle sale culture, si triste, si dure, si froide, tous contre tous malgré nous. On cherche tous n’importe quoi qui peux faire sourire, aimer, mais on coince sur des millers de détails futiles qu’on a appris a relever et à s’y arreter. Toujours une bonne raison de supecter l’autre de vouloir notre malheur, tant et si bien que ca en devient presque vrai. Ya pas de légereté, de confiance sans bornes, on se croit tellement mauvais que presqu’on le devient. Peut-être qu’on est juste comme ça et que moi je vis avec la nostalgie d’un film qui me fait croire que l’on pourrait être des anges, ouverts, prêts à s’aider, à s’augmenter, et non pas ces robots toujours si furtifs à deceler la moindre faille et à s’enfoncer. Le jour oû mon utopisme ou ma foi en l’homme ou je sais pas quoi aura ceder sous le poids de ma misanthropie, de mon scepticisme, de mes peurs, ce jour là j’aurai rejoint la foule des zombies pour toujours et j’espère que j’aurai assez d’énergie pour ne pas continuer ou même pire fire des enfants et leurs transmettre ma haine, mon échec. Je dit ça c’est peut-être pas si grave, il passera quand même ce je ne sais quoi qui vient de je ne sais oû et qui peut-être se revelera un jour d’une manière ou d’une autre. Comme j’ais envie de croire nietszche, quand il y croit. Comme je voudrais que l’humain dépasse cette état si triste. Comme si c’était possible. Pourquoi pas. On est bien aller sur la lune, même si ca sert à rien que c’est même completement con à mes yeux, ca veut quand même dire que l’on peut en réaliser des rêves, pour peu que l’on y croit vraiment.

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