enfin

Hé hé jsui bourré

Grâce a la technologie, j’ai réussi a inciter un pote à se mettre a l’envers a l’absinthe a plus de 1000 Km de distances. Plutôt cool la science dans ce cas la… ce pote est l’un des humains de loin le plus proche de moi. Cependant jamais ou presque ce sont les mots qui nous ont rapprocher enfin si mais pas les mots sérieux juste ceux qui accompagnent nos grimaces et nos sourires ceux dont l’émotion s’habille pour ne pas se sentir trop nue dans nos têtes oû les mots sont les compagnons obligés de chaque instant. Quoi qu’il arrive, je me rends bien compte que ce qui compte justement, pourrait largement se passer de mots un peu de la même manière qu’à l’instant je veux me passer de ces chaussures qui me serrent, me contiennent et m’oppressent. Putain j’ai l’impression que tout ce que je peux dire n’a aucun sens dans le monde dans lequel je vis pourtant sur le moment c’est tout ce qui importe. Mais c’est un peu toujours la même chose, distiller l’instant pour qu’il n’en ressorte que ce qui peut se raccrocher à ce qui a été décidé avant nous ; que ce qui fait sens dans ce que l’on nous a appris a voir. Moi j’reve d’un monde ou les gens partagent avant tout leur expérience d’être un putain d’humain avec cette putain de conscience et ces putains de sensation et tout ce qui suit. Sans jugement sans bonne manière de penser, sans honte ni fierté juste vu qu’on a les mots, parler de ce qui nous arrive sans hiérarchie, sans devoir, sans mission a remplir, sans but. Putain mais la vie et en tant qu’être humain c’est cent fois plus ouf que n’importe quel trip même a la salvia ; ça, ça me sert juste a me le rappeler, car tout ici pousse a l’oublier. Bon j e m’enflamme, la vertu desinibante de l’alcool je présume, je connais bien la leçon, faut savoir se contenir, distiller, trier amincir effacer oublier… jsui bien roder je crois, même si g tendance a un peu moins le faire qu ailleurs, ça fait trop peur aux autre du moins quand c’est des mot… bon d’accord jvai le faire autrement avec des gestes des mimiques, des attitudes, ça passe beaucoup mieux. La norme autorise voir encourage d’une certaine manière ce genre d’expression, par contre les mots c’est son outils pas le droit d’y toucher. Ya un poids sur les mots hallucinant, les mots faut pas trop en dire ou alors tjrs les mêmes ceux qu on connaît bien qui veulent pas dirent grand-chose, bon jderaaille encore. Moi les mots c’est un peu mon truc ; l’abstraction on ma nourri a ça. C’est surement pour ca qjme rabarache tjrs ces mêmes idées, et que jsui si incapable d’être un singe entier qu’arrive a vivre comme tel. Jsui qu’un singe cramé a qui on a donné un outil qui dans ce monde pourrai me donner beaucoup de cette virtuel puissance, mai qui en fin de compte m’empêche juste de vivre, seule chose qu’après mures voir pourries réflexions jveu mai je ne peu plu, quoique les plans sur le futurs g aussi appris a ne plu m’y fier, tout est possible et bien plus que cte putain d’expression voudrai l’entendre. Bon tout ça ça n’a ni queue ni tête, hé hé car on voudrait que les mots comme nous en ai une queue et un tête. Jsai pas si di juste de la merde ou si c’est ce putain de surmoi, ou jsaipacomment on peu l’appeler celui la, qui me fait dire ça. Mais c’est une pensée entendue, déchiré, la création c’est de la merde. Perso jsui pas trop d’accord mai jsui incapable de prendre le contre-pied de tout le monde. De la majorité pas de problème, au contraire jsui même plutôt enclin a le faire mais des quelques freaks que j’ai pu croisé dans les livres, dans les disques jpeu pas c’est ce que on appelle la folie. Déjà eux on appelle ça la folie alors ce qui ne peu se rattacher a rien, ya même pas de doute. Pourquoi cette intensité, aucune idée. Les gens qui me voient me trouvent calme, pourtant sur ce support je ne le sui pas trop. Fais-je ma psychanalyse me sers-je d’un virtuel auditoire pour me guérir de ce mal être. Tiens c’est drôle ça, ce mal être. Ct’ expression qui entend que c’est une mauvaise façon d’etre que de se sentir mal. Jsai pas ce qj’en pense mais des gens qj’ai pu croiser, des qui se sentaient bien ou plutôt qui avait l’air bien, au sens ou je l’entend,assez exclusif, sorry, j’en ai pas vu plus que j’ai de doigts. Bon en fait c’est plu compliqué car g eu l’impression qu’en afrique pour ce que j’ai aperçu, les yeux brillaient plus facilement, l’émotion était plus facilement présente etc., mais je sais qu’autant g réussi a cramé plus ou moins les humains de mes contrées autant dans des cultures radicalement différentes jcapte moins, enfin j’en sait rien. Bon jsen l’alcool redescendre, mes idées se réembrouiller donc jvai arrêter la ctexperience. Jsai déjà que même si demain je trouve tout ça pourri je ne l’effacerai pas, j’ai stabitude de quoiquy chez moi réuni assez d’énergie pour s’inscrire d’une manière ou d’une otr qlqpart, je ne la renie pas même si mon ego ayant retrouvé sa fictive stabilité ne l’apprecipa.