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c'est ça ouais
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20 mars 2005

bon bein jvai enchainer

 

Chaque moment me voit un etre différent, mais mon habitus pronant l’unification, ne me laisse m’en apercevoir que quand il défaille. Est-ce la cause de mon inclination vers tout ce qui peut terasser mon fonctionnement normal, je ne sais pas. Chaque bribes d’evenement me transforme, et là se reveille cette force unifiante qui poli inlassablement les angles ou ptet plus joliment aplani les courbes jusqu’a me faire revenir dans le plan. Cette espace se montre plat mais dans l’ombre se tisse une trame d’une compléxité indicernable, imperceptible, incomprehensible et surtout inexplicable. Mon habitus, de nature curieuse s’il en est, me permet l’investigation, mais comme il me laisse cette marge d’action que pour trouver des explications, je me retrouve souvent devant une tache incohérente, biaisée d’avance et terriblement frustante. Un peu comme si j’essayer de tamiser un tas de poussiere avec une passoire bien trop large.

Pour revenir a ma fascination pour les forces déchouantes, qu’est ce qui dans une tête si obnubilée par l’ordre, cette tête évoluant elle-même dans un monde obsédé par celui-ci, peut me pousser a tout mettre a l’envers ou dans n’importe quelle sens alors que je devrais forcement tout remettre en place après ? D’ailleurs je crois qu’a chaque fois que je mélange toutes les pieces de ce puzzle, je n’arrive jamais à les remettre tout a fait en ordre. Certaines pieces s’intervertissent mais le gouverneur ne s’en appercoit pas, reprends son masque et tente de rejouer le même rôle mais ce n’est plus exactement le même jeu qu’il a dans la main, et, même si quelque part il s’en rend compte, il force pour que ca passe.

Je pose la question, mais j’ai deja, en fait, quelques explications dans ma boite à bonne raison. Il y a clairement une force en moi (et chez chacun) qui pousse a plus de liberté et qui donc s’oppose au gouvernement fasciste de mon cerveau, de mon corps. Quand cette force n’est pas dupée par quelques esperances qui la font patienter, ou bien quand elle ne s’acharnent pas contre le fascisme exterieur (somme, j’en ai bien peur, de nos fascisme interieurs), ou bien quand l’acide arrive à détourner ma raison de ses addictions, ou bien d’autant plus quand ces trois evenements se croisent, là se produit ce dont je suis assoiffée bien que n’ayant jamais pu vraiment m’en abreuver, cette état chelou que j’aime vraiment trop pour le réduire ici en mot.

 

Putain, voila un paquet de mot que je n’ais pas l’habitude de partager avec d’autres. Je connais bien 4-5 humains avec qui s’étant croisé un bon jour, dans un bon contexte, on a pu aborder ce genre de sujets mais ce fut rare. la vie nous oppose tellement et de tant de manière que cela ne fait aucun sens d’echanger la-dessus. D’autant plus que c’est une vraie galère de trouver des mots communs sur des trucs si subjectif if if

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